La Petite Sirène et autres contres de l’eau

Chantal Robillard vit à Strasbourg, mais elle est née au  milieu des volcans auvergnats, parmi les fontaines pétrifiantes et  les orgues basaltiques : il était donc normal qu’elle s’intéresse au conte, aux légendes, au fantastique, à la poésie des lieux étranges.

Après avoir été conservateur en chef des bibliothèques (BPI du Centre Pompidou, BMC de Colmar, BNU de Strasbourg), puis conseillère pour le livre et la lecture en Drac durant 20 ans en Alsace puis en PACA, elle se consacre désormais à l’écriture. Elle est sociétaire de la SGDL, de la Maison des écrivains et de la littérature (MEL), de  l’Académie rhénane, et a été nommée en 1999 Chevalier des Arts des Lettres,  (très remarqué, son discours-poème de remerciement a été publié dans la revueAction poétique) puis promue Officier des Arts et Lettres en 2008.

 

Chantal Robillard a publié, outre des nouvelles et  poèmes dans différentes revues, ainsi que dans les recueils Comment j’ai lu des contes de fées et Mon héros préféré  ( Centre des écrivains du Sud -Jean Giono, éd. Transbordeurs, Aix en Provence), les ouvrages suivants :

Les Sept fins de Blanche-Neige, Le Verger éditeur, Illkirch, 1996; rééd. 2011.

La Fontaine aux fées, Le Verger éditeur, Illkirch, 1999; rééd augmentée en 2013 sous le titre Fugue de la fontaine aux fées.

Hôpital Cendrillon, Editions du GREF, Toronto, 2004 (en cours de réédition).

Le dit du Drégonjon et de son Elfrie in l’anthologie Reines et dragons, Mnemos, 2012 (texte nominé pour le prix Merlin 2013).

Zoo des chimères, éditions Argemmios, Saussay la Campagne, 2013 : conte fantastique mâtiné de science-fiction, premier d’une série Galaxie Conte.

Serpent d’Infant in Rencontres imaginaires en Aubrac, Argemmios, 2013 (écrit pour les Rencontres d’Aubrac).

3 poèmes pour Na Castelloza,  in Au coeur des arts, éd. Académie rhénane, 2014.

Haikus sur le monastère de Saorge, in Te lucis ante terminum, photographies de Michel Eisenlohr, Images du Sud, juillet 2014.

Dimension Moscou : anthologie de nouvelles fantastiques, Rivière blanche, coll. Fusée, 2015 (dir. de l’anthologie et haïkus).

Fendre la nuit étoilée (écrit pour les Rencontres d’Aubrac) et 2 autres poèmes in L’insurrection poétique, éd. Ac. rhénane, 2015.

Fugue de la fontaine aux fées (Verger éditeur, 2016)

Dimension fées (Rivière blanche, 2016), avec Muriel Chemouny et Philippe di Folco

Igal SHAMIR, est né à Tel-Aviv en 1938, de parents émigrés. Attiré par la musique dès l’âge de 5 ans, Igal Shamir prend des cours de musique avec un professeur d’origine russe. À 8 ans, il donne son premier concert en public. Repéré par Yehudi Menuhin, il obtient, en 1958, une bourse au conservatoire Royal de Belgique. Prix du conservatoire de Bruxelles et de Genève, il poursuit sa carrière d’interprète classique sur les scènes internationales.

Dans les années 1970, il signe des enregistrements chez RCA et CBS (La 40° de Mozart, Le Fabuleux violon d’Igal Shamir, Tchaïkovsky, Autobus vert) ou Disc’AZ (La Folia Viva Paganini).

Igal Shamir a publié plusieurs ouvrages (Le violon pour tous) chez Paul Beuscher. Il enseigne le violon et la musique de chambre à la Schola Cantorum de Paris. Il travaille régulièrement pour des émissions de radio, en particulier avec André Velter, sur France Culture, ou pour des festivals avec des cinéastes, des plasticiens. Il est fait chevalier des Arts et des Lettres.

Il est également l’auteur d’un roman La Cinquième corde (Presses de la cité) qui inspira le film Le Grand blond avec une chaussure noire.

Son roman Le Violon d’Hitler, paru en juin 2008, aux éditions Plon, est un thriller palpitant. Il a été réédité en Livre de poche. En juin 2010, il a publié un nouveau roman Via Vaticana, aux éditions Plon.

Depuis 1999, Shamir est un habitué des Rencontres d’Aubrac où il propose des aspects musicaux inédits pour accompagner les thèmes des Rencontres : de l’adaptation du texte de Jorn Riel, Le Jour avant le lendemain, avec Denis Wetterwald à une création Fragments amoureux de La Reine de Sabbah avec Dido Lykoudis, en passant par la Légende du Golem avec Ben Zimet, le développement de son propre Concerto pour Babel, l’interprétation d’un raga indien aux côtés de Jean-Claude Carrière parlant du Mahâbhârata, une lecture spectacle de Poèmes et chroniques de la résistance au nazisme avec l’acteur Maurice Bénichou et un parcours festif et zygomatique, Le Gai Savoir de l’absurdie juive, avec le chercheur Jean Baumgarten.


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